SYLVIE BÉRUBÉ
Députée d'Abitibi—Baie-James—Nunavik—Eeyou

Bloc Québécois

Communiqué de presse
Pour diffusion immédiate

Consultation auprès des municipalités sur le Fond de la Taxe sur l’essence et la contribution du Québec

Val-d’Or, le 12 mars 2020 La députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé, annonce qu’elle mène une consultation auprès des municipalités de la circonscription sur les modifications que le gouvernement du Canada a apporté aux critères du Fonds de la Taxe sur l’essence et la contribution du Québec (TECQ).  

En effet, les nouveaux critères adoptés pour le fédéral ont pour effet de retirer des infrastructures telles que les hôtels de ville, les casernes de pompiers, les garages municipaux et les entrepôts des projets admissibles.  

« La TECQ est un des seuls programmes avec de l’argent du fédéral qui est géré en collaboration entre Québec et les municipalités. Il fonctionnait très bien, mais comme tout ce qui fonctionne au Canada, il a fallu que le gouvernement du Canada s’en mêle et change une recette qui marche. » soutient Mme Bérubé.  

Il est à noter que dans les plus petites municipalités, les infrastructures proscrites constituent souvent la majorité des bâtiments de la municipalité et qu’il n’est donc pas vraiment possible comme dans les plus grosses villes de réallouer des sommes entre différent projet pour profiter des sommes de la TECQ. La députée fédérale d’Abitibi-Baie-James-Nunavik-Eeyou, Mme Sylvie Bérubé, a donc décidé de recueillir les témoignages des différentes municipalités des projets qui ont été mis en difficulté à cause des modifications afin de faire pression sur la ministre de l’Infrastructure et des Collectivités.  

« Je m’affaire maintenant avec mon collègue porte-parole en matière de Transport, d’Infrastructure et de Collectivité, M. Xavier Barsalou-Duval, à recueillir les témoignages des municipalités sur la façon dont elles ont été affectées par les nouveaux critères fédéraux imposées aux Fonds de la taxe sur l’essence. Les témoignages et résolutions de conseil nous permettrons de bien documenter la situation et de mettre de la pression sur Mme Catherine McKenna, la ministre de l’Infrastructure, afin de revoir les critères. » conclut Mme Bérubé.

Suivez-moi